Le SMIC doit descendre de 25% en Grèce pendant que les allemands réclament 6% de hausse de salaire. Autrement dit, on a des tensions inflationnistes d'un coté et déflationnistes de l'autre.
On ne voit pas, au vu de ce paysage, comment les spreads de taux peuvent rester serrés.
On ne voit pas, au vu de ce paysage, comment les spreads de taux peuvent rester serrés.
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