Décidément, la bourse se charge de nous rappeler que pour le moment, notre pays c'est l'Euroland.
+1.65% pour le CAC 40 aujourd'hui, clairement, nous ne sommes plus en 1981 où le sort des entreprises du CAC 40 était lié aux perspectives purement nationales voire politico-politiciennes de base. A contrario, -2.36% pour le Crédit Agricole, le chiffre ne laisse aucun doute : la banque verte est un bon proxy pour jouer (à la baisse) à la Grèce.
Maintenant, sur le plus long terme, peut-être est il temps de réouvrir l' essai suivant :
La fin de l'Euro, de Christian Saint Etienne, chez Bourrin Editeurs
Au vu ce ce qui se passe en Grèce, avec l'arrivée de néo nazis au parlement, et avec la discorde franco allemande (voir la déclaration de Merkel qui refuse de renégocier le pacte budgétaire), les problèmes monétaires pourraient revenir rapidement sur le devant de la scène.
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