Cela dit, ce qui reste frappant, c'est le cout croissant de catastrophes climatiques à la fréquence de plus en plus elevée. Face à cela, on ne peut qu'etre (positivement) surpris par la résistance du secteur assurance et réassurance. Comme quoi la mutualisation des risques (titrisation ? :-) ), ca fonctionne.
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