Un nouveau risque systémique est apparu : le Liban. Et il est sérieux.
"Les banques libanaises, à court de liquidités, ont restreint les retraits, provoquant la fureur des déposants. Le Liban pourrait se retrouver en défaut de paiement sur sa dette qui pèse plus de 150 % du PIB", nous apprend la Croix du 20 janvier 2020.
Selon Reuters, "Lebanon’s new government faces huge upcoming debt repayments and a currency peg at breaking point, but it may already have run out of the hard cash firepower it needs to tackle these problems. "
Le Middle East Eye parle même de scènes de type bank run. Les Libanais ont à faire face à des queues interminables pour retirer leur argent à la banque.
Or, et même si le Liban est un petit pays (6.5 millions d'habitants), la France se maintient parmi les premiers partenaires commerciaux du Liban. D’après les Douanes françaises, le volume des échanges commerciaux entre la France et le Liban a atteint 802 M€ en 2018.
Le risque Liban s'ajoute aux autres sources de tensions qui affectent le marché, comme le coronavirus.
Le Middle East Eye parle même de scènes de type bank run. Les Libanais ont à faire face à des queues interminables pour retirer leur argent à la banque.
Or, et même si le Liban est un petit pays (6.5 millions d'habitants), la France se maintient parmi les premiers partenaires commerciaux du Liban. D’après les Douanes françaises, le volume des échanges commerciaux entre la France et le Liban a atteint 802 M€ en 2018.
Le risque Liban s'ajoute aux autres sources de tensions qui affectent le marché, comme le coronavirus.
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